
Résidences, Collections, bourses et interventions
Résidences _ Residencies (sélection)
– Pays vagues, première saison IEAC, Carrières de la Vallée Heureuse / Groupe A (2024)
– Centre d’art Rimbun Dahan, Selengor, Malaisie (2024)
– Laboratoires Numérique éphémères / CACLB / Fédération Wallonie-Bruxelles (2023)
– Échangeur // 22 / Avignon (2023)
– Regards d’Artistes sur l’Urbanisme #7 / Groupe A (2022)
– FLow / Lille (2021)
– Vidéoformes / Clermont-Ferrand (2017)
– Atelier Wicar / Rome (2015)
– Espace(s) Son(s) Hainaut(s) (2014)
– Laboratoire, sous le regard de Christian Rizzo. (2012)
– Voyez-vous. Transat Project (2012)
– Villa Caldèron (2011-2012)
– Les Bains-Douches (2010)
– Usine Utopik (2010)
– Station Mir (2005)
– CAC (2004)
Collections publiques _ Public collections
FRAC Picardie
Musée de la Piscine
Département de l’Orne
Département du Pas-de-Calais
Château d’Hardelot
Ville de Lille
Ville de Roubaix
Bourses _ Grants
– Fond Émergence Pictanovo 2024
– Aide à l’installation 2015 (DRAC Nord-Pas-de-Calais)
– Aide à la création 2011 (DRAC Nord-Pas-de-Calais)
– Villa Caldèron 2012
– CAC 2006
Commandes et collaborations_ Orders and collaborations
Fondation Abbé Pierre
Hermès
Compagnie Anima Motrix
Ville de Caen
La montagne / la Vallée, Bruxelles, juin 2016
Avec de gauche à droite :
Deux lunes, 2016 / Vue stratigraphique n°2, 2014 / Les quatres fils Aymon, 2016 / Neige sédimentielle, 2016 / Une bande, 2016 / Paysage, va et vient, 2016
Paraciels, 2009

Paraciels, 2009-2021 / Installation vidéo
Vue de l’exposition « Paysages » au Puzzle, Thionville en 2020
Nicolas Tourte par David Barbage pour l’exposition Très tôt sur l’oreiller à la galerie Duchamp
Nicolas TOURTE, bricole l’image avec ingéniosité, usant de l’astuce et du système D.
L’illusion est souvent totale, dans son univers se mêlent bout de ficelle et bout de film, moteur d’essuie-glace et cellule photo électrique. Dans l’aire du numérique il oscille entre le zéro et le un. Dans cet entre-deux, cet interstice, il jubile de ses trouvailles inventives. C’est un plaisir d’enfance qu’il donne à voir, des émotions d’explorateur de l’infiniment grand à l’infiniment petit, tel
VOLTAIRE qui dans « Micromégas » s’interroge sur la place de l’homme dans tout cela.
Ce jeune artiste nous invite à l’exploration de l’image et de son anagramme la magie, il la pratique, l’expérimente, la questionne en apprenti tâtonnant, il nous invite aussi à la démystifier, dépassant ainsi toute fascination trompeuse (…)
Il faut situer le travail de Nicolas TOURTE entre les « Temps modernes » de Charlie CHAPLIN et
« L’homme à la caméra » de Stziga VERTOV en passant par Georges MELIES, il agrandit, il rapetisse, il rythme, il diffracte, il découpe et cautérise ce qui reste encore et toujours une image.
Texte de David Barbage pour l’exposition « Très tôt sur l’oreiller » à la galerie Duchamp