bio

Nicolas Tourte est né à Charleville-Mézières, il vit à Lille et travaille en tous lieux.

Après un cursus l’ESAD de Valenciennes, il se focalise sur la notion de
cycle et entretient un lien fort
avec l’architecture. Les sciences du vivant le guident dans ses
recherches, il questionne avec humour
et dérision la place de l’homme dans l’univers. Dans l’aire du numérique
il oscille entre le zéro et le un.
Dans cet entre-deux, cet interstice, il jubile de ses trouvailles
inventives.

En 2015 il réside à Rome et imagine l’installation vidéo monumentale
«Lupanar» testée lors du festival
Interstice #10, Caen.

En 2016, «Vues stratigraphiques», une série de photomontages mise en
rapport avec la guerre des tranchées,
fait l’objet de l’exposition personnelle «Etat crépusculaire», au Musée
de la Piscine, Roubaix.

EN 2017 «Visions intermédiaires», une exposition au Château d’Hardelot
aux allures de rétrospective.

En 2018, il est invité à la Biennale Gran Taipei / Taiwan et expose ses
recherches sur les phénomènes
naturels à Katowice / Pologne pendant la COP 24, Cooldown avec
l’Alliance Française.

HYAM choisit Nicolas Tourte en 2019 pour inaugurer sa première carte
blanche à un artiste français
sur l’île d’Hydra. Il participe à l’exposition «Plein vent!»
(commissariat / COAL) à la Halle au sucres,
Dunkerque.

En 2020 il conçoit Éllipses, commande de la Route des Villes d’Eaux du
Massif Central, présentée à
Vidéoformes, Clermont Ferrand.

En 2021 un corpus de ses dessins intègre les collections du FRAC Picardie

En 2022 il intègre le programme Regard d’artistes sur l’urbanisme avec « No shelter », sculpture dans l’espace public

En septembre 2023, il est invité au Shenzhen Art Museum, Chine, pour présenter une
nouvelle configuration de son œuvre «Lupanar».

En 2024, Nicolas Tourte intègre un programme de résidence au Centre d’art Rimbun Dahan,
Selengor, Malaisie

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