Mise à jour v4.0 ( Homo Disparitus )

Tourné vers l’ouverture, et pas n’importe laquelle, c’est en effet par la destruction fictive et partielle des toitures que la lumière du jour pénètre directement en ces lieux, les illuminant de clarté. Plus rien ne retient alors la nuit qui, bannie des intérieurs, s’efface d’elle-même. L’obscurité de ces temples-prisons s’estompe et laisse pénétrer la quiétude d’un ciel bleuté.

Aucune construction ne retient l’être prisonnier de ses barricades intérieures, la lumière du jour passe directement au travers des construction érigées par l’homme. A ciel ouvert, les édifices s’engorgent d’une nouvelle dimension symbolique: une ouverture sur l’univers questionnant les notions de religion et d’infinie plénitude.

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