Parcours d’art contemporain / Amiens

Parcours d’art contemporain / Amiens
FRAC Picardie, Maison de l’architecture Haut de France et Bibliothèque Aragon.


Variétés, 2021

Peinture augmentée. Panneau CP, découpe CNC, acrylique + application R.A. Dans cette application murale j’évoque les doubles rotations, le tore de Cliford et autres variétés.

Parcours Parallèle

Musée Guillaume de Rubrouck
Musée Jeanne Devos
Musée de l’Abbé Lemire
Taste Wijn

Un projet porté par Espace 36 en résonance avec les collections de musées de Flandre francophones / Lire le texte de Céline Berchiche : https://www.nicolastourte.net/parcours-parallele-3/

Acquisition FRAC Picardie

Très heureux de vous annoncer qu’un corpus de mes dessins entre dans la collection du FRAC Picardie . Je remercie chaleureusement le CTA composé de Dominique De Beir, artiste, Estelle Francès, fondatrice de la fondation d’entreprise Francès, Jean de Loisy, directeur de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, Pascal Neveux, directeur du Frac Picardie, Pascale Pronnier, responsable des programmations artistiques au Fresnoy et Dirk Snauwaert, directeur du WIELS à Bruxelles

Parcours Parallèle par Céline Berchiche

Les œuvres créées par Nicolas Tourte pour « Parcours Parallèle » à l’issue d’une résidence, ont toutes un lien étroit avec les lieux où elles sont exposées. Elles résonnent avec leur environnement quand elles ne portent pas directement la trace de l’intervention des habitants comme dans Les portraits tournés, portraits des habitants réalisés par eux-mêmes sur des tours à bois, avec un procédé complexe mis au point par l’artiste pour cette exposition.

Le nœud sans fin, œuvre réalisée en bois et reprenant un symbole bouddhiste signifiant, entre autre, le bon augure, réconcilie en une pièce, art, nature et culture, à l’image de ce que fut la vie de Guillaume de Rubrouck. Sur ce nœud sans fin sont projetées des images d’eau en mouvement, dans un cycle ininterrompu auquel se rajoute les incantations enregistrées d’une chamane. L’ensemble produit un effet hypnotique et apaisant. On retrouve cet effet dans Alvéoles, l’oeuvre créée pour la Maison de Jeanne Devos. Dans une structure en bois composée de 42 alvéoles se déplacent -dans chaque alvéole et dans tous les sens- des petits éléments blancs sur un fond noir, tels des poussières d’étoiles. Chaque vie est cloisonnée par les contours hexagonaux sur lesquels ces micro-organismes rebondissent, ces vies étant différentes dans chacune des alvéoles.

Si dans Nœud sans fin et dans Alvéoles, notre œil est invité à suivre les mouvements soit de l’eau soit des micro-particules c’est à une projection mentale et à notre imagination qu’il s’agit de rebondir puisque pour la Maison de l’Abbé Lemire Nicolas Tourte a construit un boomerang monumental : Les promesses de l’ombre. On remarquera la précision et la grande attention prêtées au traitement du bois, un matériau qu’il aime travailler pour son côté brut, accessible, renouvelable et vivant. L’artiste avec facétie se plaît à imaginer la machine qui pourrait l’envoyer en l’air puisque ce boomerang est techniquement capable de voler. Là encore il s’agit de mouvement et de déplacement en l’occurrence ici une référence aux soldats australiens venus combattre en France et dont les familles échangèrent avec l’Abbé Lemire.

Le mouvement c’est le temps, l’artiste est très sensible aux cycles ; de vie, de l’eau, de la nature. Enfant déjà il s’intéressait aux insectes, à la gemmologie, la géologie, il voulait comprendre comment cela fonctionnait et où était sa place. « Ce que je fabrique m’aide à avancer dans ce chemin qui mêle sciences et matériaux qui gardent l’empreinte du passé organique et géologique » confia Nicolas Tourte. De fait son œuvre interroge notre façon d’être au monde, de l’habiter, d’influer sur lui. Quelles sont, quelles seront les traces que nous laisserons ? L’art est une possible réponse car il permet d’entrevoir différents mondes, chaque œuvre étant un monde en soi. Il rend actif, à l’instar de l’Ultime soutien réalisée également pour la Maison de L’Abbé Lemire, une œuvre dont nous pouvons faire le tour pour voir tous les mondes. Table lumineuse sur laquelle se reflètent des images du ciel et d’où jaillit une volumineuse souche d’arbre. La souche donne l’impression d’être là depuis toujours et qu’elle pourrait y rester pour l’éternité, n’oublions pas qu’en biologie la « souche » est la naissance d’un monde.

Comme le point d’orgue de l’exposition et reprenant les thèmes chers à l’artiste, Lacrimae, l’œuvre exposée à la Confrérie des Compagnons du vin de Flandre a la forme d’un cercle symbole d’unité et d’universel. Sur ce cercle sont projetées des images du ciel et à sa surface coulent lentement, presque mélancoliquement deux gouttes. Réflexion sur notre monde ? Interrogation métaphysique, nul ne sait, l’œuvre s’intitule Lacrimae.

Céline Berchiche.

Perform 2

Parcours parallèle

Programme et infos pratiques : ici

Coton, dissonances artistiques

Visuel : Paraciel, 2009 / installation vidéo

Avec : Joseph BEUYS, Brigitte BOUQUIN-SELLES, Cynthia BRIDÉ, CÉSAR, Awena COZANNET, Serge CRAMPON, Pascal DI PÉRI,
Mona HATOUM, Tamara KOSTIANOVSKY, Pascal MONTEIL, Hiromi MUROTANI, Marie POURCHOT, Chantal RAGUET, SKALL,
Nicolas TOURTE, Sofie VINET et Elisabeth WADECKI, Aline BERGER.
Jusqu’au 3 octobre 2021
Musée du Textile et de la Mode
Rue du Docteur Roux – 49300 Cholet

Ellipses, 2020

Ellipses, 2020
Installation vidéo
Projection vidéo, matériaux divers
Dimensions 300 cm / 200 cm / 135 cm

Visible jusqu’au 27 aout 2021
Du mardi au vendredi de 14h > 18h


Centre culturel de Vichy15 Rue Maréchal Foch, 03200 Vichy

Création originale | Présentation en première mondiale VIDEOFORMES 2020.

On reprendra des couleurs

Exposition collective à la Maison des arts Rosa Bonheur / Chevilly-Larue
du 12 juin au 7 juillet  2021. Vernissage le 12 juin à 17h

Avec : Alice Raymond, Barbara Portailler, Laurent Gongora et Nicolas Tourte.

Commissariat : Fabienne Leloup

Memory from the future

Résidence au Flow / Lille

 

Au-delà des nues, Paraciel de Nicolas Tourte

Vaporeux, cotonneux, ouaté, molletonné, absorbant, aérien, doux, le champ lexical du coton pourrait être le même que celui du nuage rien donc d’étonnant à ce que Paraciel, œuvre de Nicolas Tourte soit installée dans la salle de la machine à vapeur au sein de l’exposition « Coton, dissonances artistiques ». Le nuage est par essence instable et insubstanciable, pourtant au XXIème siècle beaucoup d’artistes ont voulu le capturer, le mettre en boîte, reproduisant même ses conditions d’apparition. Face à ces œuvres où le nuage est sujet, force est de constater qu’il continue d’exercer la même fascination que chez les artistes de la Renaissance ou du XIXème siècle. La place du nuage dans l’histoire de l’art occidental est complexe car sa fonction varie selon les époques, c’est pourquoi nul ne saurait dire quelle est la fonction des nuages de Nicolas Tourte ; les interprétations sont libres. Dans Paraciel, des nuages en mouvement sont projetés sur un parapluie posé à même le sol, le tissu du parapluie sert d’écran et de toile. Un parapluie protège de la pluie, un paratonnerre du tonnerre, de quoi protège Paraciel ? Est-ce pour éviter que le ciel nous tombe sur la tête que
Nicolas Tourte a construit un Paraciel ? La chute du ciel, réfère à la cosmogonie celtique où la voûte céleste est soutenue par des colonnes – ainsi qu’aux mythologies nordiques notamment au Ragnarök germanique. Le nuage est plastique, il varie et n’est jamais le même, symbole de douceur cotonneux et ouaté, il peut aussi être inquiétant, suspect, angoissant, ses contours pouvant se dissoudre jusqu’à totale évaporation c’est-à-dire
disparition. N’est-ce pas alors notre finitude que Nicolas Tourte interroge par/avec ce Paraciel ?
Dimension eschatologique chez les Celtes, dimension spirituelle et sacrée pour les
hommes de la Renaissance, quelle dimension cette représentation revêt-elle pour nous aujourd’hui ? Dans une de ses installations, Homo Disparitus, il fallait lever la tête vers un oculus de la Renaissance pour voir apparaître, par un trou dans un plafond effondré, le ciel et ses nuages. Dans Paraciel, le parapluie est échoué au sol, il nous faut baisser la tête, à l’ère de l’anthropocène, la chute est-elle déjà là ? Peut-être mais Paraciel nous
protège, il y a de l’espoir, c’est là sa poésie.

Céline Berchiche






Céline Berchiche
Docteur en histoire de l’art




Délice de Nicolas Tourte

Une sculpture pour un parc à Chevilly Larue, une forme simple pour évoquer un enjeu actuel

Cette sculpture pour un parc à Chevilly Larue s’inscrit dans une dynamique de commandes publiques d’œuvres qui deviennent des marqueurs du paysage urbain tout en portant un message. Nicolas Tourte offre aux habitants et riverains une pièce qui à la fois s’inscrit comme point d’intérêt dans un parc pour être contemplée de loin et dont l’aspect se modifie selon le contexte météorologique.

Chevilly Larue est une des villes qui accorde une grande importance à l’Agenda 21 [1]. Dans le cadre de sa politique engagée en faveur du développement durable, avec notamment l’objectif n°8 de ce programme « Faire de l’espace public un lieu de vie, de rencontre, et de nature » et en s’appuyant sur la fiche action n°16 « Créer des zones artistiques dans les rues », la commune a proposé un appel à projet à destination des artistes intitulé « L’empreinte écologique de l’art ». Ils étaient invités à répondre à celui-ci en proposant une œuvre dont l’enjeu était d’inciter un changement de regard sur le changement climatique tout en utilisant des matériaux écologiques et durables. Nicolas Tourte, le lauréat, y trouve l’occasion de poursuivre son exploration artistique de la ville à la suite de la création de son installation in situ pour l’exposition « Métamorphoses du quotidien » à la Maison des arts plastiques Rosa Bonheur [2]. Il avait installé une sculpture-architecture qui prenait appui sur une fenêtre-hublot de l’espace d’exposition. Celle-ci créait à la fois un point de vue telle une jumelle sur l’extérieur et était support à une projection vidéo cyclique nous emmenant vers un univers cosmique.

Le cercle et les notions de cycle et d’infini caractérisent l’ensemble de sa pratique artistique. Nicolas Tourte voit dans la forme circulaire un symbole du temps et de la vie comme éternel recommencement. Sa sculpture Délice a pour origine son enquête du site proposé par la ville et une attention envers la circulation du regard du visiteur et promeneur. Elle est visible de loin et nous invite à descendre dans le parc et à continuer la balade.

L’artiste a choisi l’acier corten, un matériau entièrement recyclable à l’infini et durable dans le temps. Si son œuvre paraît forte et comme un signal, elle est en devenir. Située volontairement dans un bassin de rétention d’eau, elle n’est complète qu’une fois inondée. Un miroir d’eau accueillera ses reflets durant certaines périodes de l’année. Telle une roue, elle fait écho à l’éternel retour à la terre. Nous individus, nous ne faisons que passer. Délice évoque à la fois une boucle temporelle et le caractère éphémère de nos vies. Les flèches en creux suggèrent un futur proche et nous mettent en garde contre les effets des bouleversements climatiques. Celles-ci indiquent également des directions à suivre allant dans un sens infini. N’y-a-t-il pas là l’image d’un changement qui n’en finit pas et d’un processus naturel, un renouveau perpétuel ? Cette œuvre combine à la fois l’idée du jeu et celle d’une action qui ne s’arrête jamais. Elle contient des références multiples qui nécessitent qu’on s’y intéresse pour les découvrir.

Cette sculpture s’inscrit dans une dynamique de commandes publiques d’œuvres qui deviennent des marqueurs du paysage urbain tout en portant un message. Nicolas Tourte offre aux habitants et riverains une pièce qui à la fois s’inscrit comme point d’intérêt dans un parc pour être contemplée de loin et dont l’aspect se modifie selon le contexte météorologique. Elle met en évidence les variations du temps et ce que certaines conditions climatiques produisent sur notre environnement. Elle parle d’une problématique qui nous touche tout en nous laissant libres d’y voir d’autres histoires. Tel serait le rôle de l’art, nous convier à une expérience sensible et faire naître des réflexions. L’artiste a su tirer parti des contraintes de l’appel à projet pour faire naître cette forme qui poursuit ses recherches esthétiques et plastiques. Les habitants se sont déjà appropriés cette œuvre que l’on attend maintenant découvrir sous un autre jour.

Article de Pauline Lisowski pour TK21:
https://www.tk-21.com/Delice-de-Nicolas-Tourte

Notes

[1] Un programme local d’actions en faveur du développement durable.

[2] Exposition collective à la Maison de arts plastiques Rosa Bonheur avec les artistes
Nicolas Tourte \ Julie Legrand \ Laurence Nicola \ Marie Denis \ Hélène Muheim \ Eudes Menichetti \ Angèle Guerre \ Éloïse Van der Heyden \ Katia Bourdarel \ Laurent Debraux \ Laurent Pernot \ Laure Tixier \ Carolein Smit \ Amandine Gollé \ Lionel Sabatté \ Laurence Gossart \ Luc Doerflinger \ Yves Helbert \ Maylis Turtaut, Commissariat : Pauline Lisowski avec la collaboration de Fabienne Leloup. Collaboration artistique : Marie Denis, du 6 mars au 11 avril 2020 puis du 7 septembre au 3 octobre 2020.

Délice, 2020 Édition 10 ex. + 2 E.A.

Délice, 2020 / 500,00 €

Sculpture acier, découpe laser
Dimensions : ø 32 cm / 16 cm
Poids : 4kg / 7kg avec boite
Édition 10 ex. + 2 E.A.
Frais de livraison à partir de 21,00 €

Provisions, 2022

Délice, 2020

Délice, 2020 / Sculpture dans l’espace public / Acier corten, ø 200 cm / Nicolas Tourte lauréat de l’empreinte écologique de l’art / Chevilly Larue /

Exposition Paysages au Puzzle, Thionville

Imgage ci-dessus : Paraciels, 2009 / 2020

Du 24 Sept. 2020 au 07 Nov. 2020

PAYSAGES
Une co-production Puzzle & Centre Jacques Brel
Du 24 septembre au 7 novembre 2020

L’Homme face à la Nature, entretient un lien ambigu entre volonté de contrôle, d’éloignement, mais aussi un besoin de ressourcement et de connexion. La Nature devient paysage par le regard que portent les historiens, les agriculteurs, les urbanistes, les artistes… Dans l’Art, la diversité des approches induit une variété de définitions. Qu’il soit réaliste ou imaginaire, le paysage est comme un territoire mental d’espérance, un appel à la contemplation et à la prise de recul sur notre rapport à l’environnement.
L’exposition propose un point de vue partant des maîtres de l’estampe de paysage, en passant par les plasticiens jusqu’aux artistes numériques.

Avec : Jérémie Bellot – Hicham Berrada – Thibault Brunet – François Génot
Hiroshige « Collection Georges Leskowicz » – Olivier Masmonteil – Collectif Onformative
Nicolas Tourte – Noël Varoqui – Kris Verdonck

Du mardi au samedi et dimanche 4 octobre – 14h à 18h
Salle blanche, salle noire, bulle du forum, caverne, espace Weisbuch
Visites découverte les matins sur RDV – 03 82 56 12 43
Entrée libre

Installation de Délice, œuvre dans l’espace public

delice

Installation de Délice, œuvre dans l’espace public …
Délice 2020, Acier corten Dimensions : ø 200 cm / 100 cm
Installation promenade Maurice Chevalier / Chevilly Larue.Nicolas Tourte, lauréat de l’appel à projet « l’empreinte écologique de l’art »

Lupanar, 2015

nicolas_tourte_lupanar_v3_2018_by_duby64

Installation vidéo
Structure bois et projections vidéo
Dimensions variables

Production : Station Mir / Interstice
Vue de l’exposition Medio Acqua en octobre 2018 à la base sous-marine de Bordeaux
Photo : duby64

Cemetery revolution , 2017

cemetery revolution nicolas tourte

Sculpture, bois et matériaux divers Dimensions variables

Botidea aquafolium, 2017

nicolas_tourte_botidea_aquafolium

Vidéo 1080p
Production : Château d’Hardelot

Contre-temps totémique, 2017

nicolas_tourte_contre_temps_totemique_2017
Dispositif vidéo
Dimension : 135/100/15 cm
Chêne, écrans LED et matériaux divers

Coriolis Infinitus, 2019 / Sérigraphie 44 exemplaire

nicolas_tourte_coriolis_infinitus_2020Coriolis Infinitus, l’œil du Tibre, 2019
Édition La Belle Époque [arts contemporains]
50 x 50 cm
Papier Fabriano Rosaspina 220g
44 exemplaires
100,00 €

Au nord du futur, 2019

Installation vidéo
Dimensions : 400 /180 /60 cm
Bois et acier, projection vidéo, son

Production : Station Mir / Interstice
Vue de l’exposition Au nord du futur en mai 2019 au 102 ter, Caen, lors du festival Interstice #14
Design sonore :  Olivier Classe

Éllipses, 2020

Installation vidéo
Dimensions : 300 /200 /180 cm
Contre plaqué bouleau de Finlande et acier, projection vidéo

Production : Route des villes d’eaux du Massif Central / Vidéoformes avec le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et CGET massif central

Infundibulum 2020

nicolas_tourte_infinidibilum_2020_maison_des_arts_rosa_bonheur

Bois et matériaux divers, projection vidéo
Dimensions : 250 / 360 / 400 cm

Vue de l’exposition Métamorphose du quotidien, Maison de Arts Rosa Bonheur, Chevilly-Larue

Origines, 2020

Projet en cours

Métamorphose du quotidien, Maison des arts Rosa Bonheur


Infundibulum, 2020

Matériaux divers & projection vidéo
Dimensions 360 cm / 250 cm / 400 cm

Exposition visible du 6 mars au 11 avril 2020
Maison des arts plastiques Rosa Bonheur
34 rue Henri Cretté, 94550 Chevilly-Larue

Avec : Nicolas Tourte – Julie Legrand – Laurence Nicola – Marie Denis – Hélène Muheim – Eudes Menichetti – Angèle Guerre
– Eloise Van der Heyden – Katia Bourdarel – Laurent Debraux – Laurent Pernot – Laure Tixier – Carolein Smit – Amandine Gollé – Lionel Sabatté – Laurence Annie Gossart – Luc Doerflinger – Yves Helbert – Maylis Turtaut.

Vernissage 6 mars 2020 de 18:30 à 21:30

Commissariat : Pauline Lisowski, en collaboration avec Fabienne Leloup.

Ellipses, 2019 > Videoformes 2020

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